Plongée au Cœur de l’Hypersensibilité : Au service de mon accompagnement

Imaginez un monde où chaque émotion est une couleur éclatante, où chaque sensation résonne comme une symphonie, où chaque regard raconte une histoire profonde et intime. Un monde où la joie explose comme un feu d’artifice, où la tristesse enveloppe comme un brouillard épais, où l’amour est un océan sans fin. Ce monde, c’est le mien causé ou grâce à mon côté hypersensible.

Vivre avec l’hypersensibilité, c’est naviguer constamment entre des montagnes russes émotionnelles et un champ de mines sensoriel. Les gens me disent souvent que je suis « trop sensible« , comme si mes émotions avaient un bouton de volume que je pouvais simplement baisser. Si seulement c’était aussi simple ! En réalité, je ressens la vie avec une intensité à la fois épuisante et merveilleuse.

Prenez, par exemple, une simple promenade dans le parc. Pour beaucoup, c’est une activité ordinaire. Pour moi, c’est une aventure épique. Le murmure du vent dans les arbres me raconte des secrets anciens, le chant des oiseaux est un concert privé, le parfum des fleurs me transporte dans un autre temps. Mais attention, cela signifie aussi que le bruit strident d’une sirène peut me faire sursauter comme un chat trempé, et qu’une remarque désinvolte peut résonner en moi comme un écho interminable.

Le défi quotidien de l’incompréhension

Ce qui rend les choses encore plus complexes, c’est que le monde ne fonctionne pas à cette fréquence élevée. Les autres ne comprennent pas toujours pourquoi une scène de film me fait pleurer comme une madeleine, ou pourquoi je suis profondément affecté par l’humeur d’une personne que je viens à peine de rencontrer. On me dit souvent : « Arrête de te prendre la tête » ou « Tu es trop émotif« . Ah, si j’avais un euro à chaque fois qu’on me l’a dit, je serais riche !

Pendant longtemps, j’ai perçu mon hypersensibilité comme un fardeau, un défaut à corriger. J’ai essayé de me blinder, de construire des murs autour de mon cœur. Je vous le dit : ça n’a pas fonctionné ! Les émotions trouvaient toujours un moyen de s’infiltrer, comme de l’eau sous une porte mal fermée. Plus je résistais, plus je me sentais déconnecté de moi-même.

Transformer la sensibilité en force

Puis, un jour, j’ai eu une révélation. Et si, au lieu de lutter contre mon hypersensibilité, je l’acceptais ? Mieux encore, et si je l’utilisais comme un atout ? C’est alors que j’ai commencé à voir ma sensibilité non pas comme une faiblesse, mais comme une superpuissance. Bon, je ne vole pas et je ne porte pas de cape (quoique…), mais j’ai réalisé que cette capacité à ressentir intensément pouvait me permettre d’aider les autres de manière profonde et authentique.

Dans mon travail d’accompagnement, mon hypersensibilité est devenue mon meilleur allié. Elle me permet de me connecter réellement à mes clients, de comprendre leurs émotions même lorsqu’ils n’ont pas les mots pour les exprimer. C’est un peu comme si j’avais un radar intérieur qui capte les nuances subtiles de leurs états d’âme. Et croyez-moi, cela fait toute la différence.

Il m’arrive de plaisanter en disant que je suis comme une éponge émotionnelle de compétition, ou que je devrais ouvrir un « bar à émotions » où les gens viendraient partager leurs ressentis autour d’un bon café. Et d’ailleurs, pourquoi ne pas organiser ça ! Ça vous dit ? Une journée gratuite par semaine, où je me rends disponible rien que pour vous autour d’un café, d’un thé… Dites-moi à info@authentiquementsoi.com, ou par message sur mes réseaux sociaux, ou au 06 27 91 04 79, si cela vous plairait ?

Envie de partager cette aventure

Aujourd’hui, je veux partager avec vous cette aventure qu’est l’hypersensibilité. Non pas pour me plaindre ou chercher de la compassion, mais pour offrir une fenêtre sur un monde souvent méconnu. Un monde où la sensibilité est une force, où les émotions sont des guides, et où l’authenticité est la clé du bien-être.

Je vous invite à embarquer avec moi dans ce voyage intérieur, à découvrir comment j’ai transformé ce qui était autrefois une source de douleur en un puissant outil d’accompagnement. Peut-être vous reconnaîtrez-vous dans ces mots, ou peut-être comprendrez-vous mieux une personne de votre entourage. Quoi qu’il en soit, j’espère que cette exploration vous apportera de nouvelles perspectives, et pourquoi pas, un sourire ou deux en cours de route.

Allez, attachez vos ceintures émotionnelles, le voyage commence !

Le quotidien d’un hypersensible

Vivre en tant qu’hypersensible, c’est un peu comme essayer de boire à une fontaine qui jaillit en permanence : on est constamment submergé, mais on ne peut s’empêcher d’y retourner. Chaque journée est une aventure sensorielle intense, une sorte de montagne russe émotionnelle sans ceinture de sécurité. Et croyez-moi, il faut avoir le cœur bien accroché !

Le matin, dès que j’ouvre les yeux, le spectacle commence. Les rayons du soleil filtrant à travers les rideaux ne sont pas simplement de la lumière pour moi ; ils sont une invitation à contempler la beauté du monde, même si j’aime beaucoup les temps pluvieux où j’entends la pluie tomber sur les tuiles et les fenêtres. Bon ok ! Surtout lorsque je travaille.  Mais attention, si par malheur le voisin décide de tondre sa pelouse à 7 heures du matin, c’est l’apocalypse sonore. Ou si je reçois un message inattendu, ou si mon entourage se réveille après une mauvaise nuit, contrarié, stressé ou angoissé, n’imaginez même pas l’impact que cela peut avoir sur mon humeur de la journée ! Vous voyez le tableau ?

Un écho amplifié ! Lorsque mon entourage est agité, je le ressens comme si c’était mon propre stress. Si ma partenaire est anxieuse ou si mes enfants sont de mauvaise humeur, leurs émotions se mêlent aux miennes jusqu’à former un cocktail émotionnel explosif. C’est comme si je portais non seulement mes propres sentiments, mais aussi ceux de tous ceux qui m’entourent. Une simple dispute entre proches peut me laisser épuisé pour le reste de la journée.

Les défis du quotidien : une symphonie sensorielle

Aller faire les courses peut sembler anodin pour beaucoup, mais pour moi, c’est une véritable épreuve, voir un cauchemar. Les néons agressifs des supermarchés, le brouhaha incessant des conversations, les chariots qui grincent, … Chaque son, chaque lumière, chaque ressenti, chaque émotion des clients est amplifiée. Je capte le stress de la mère pressée, l’impatience du jeune homme derrière moi, la lassitude de la caissière. C’est comme si j’étais une antenne géante, captant toutes les fréquences émotionnelles environnantes.

Je me souviens d’une fois où, en plein milieu du magasin, j’ai dû quitter les lieux en urgence. J’ai laissé mon panier en plan, sous le regard perplexe des autres clients, car je me sentais submergé par la foule. Les émotions des gens m’envahissaient de toutes parts, comme une vague prête à me renverser. Mon cœur battait la chamade, mes mains tremblaient, et le simple fait de respirer devenait un effort conscient. C’était soit fuir, soit me noyer dans ce tumulte émotionnel.

Heureusement, j’ai appris à prendre ces situations avec une pointe d’humour. Après tout, si fuir un supermarché à cause d’une overdose d’émotions était une discipline olympique, je serais sans doute champion du monde ! Je plaisante souvent en disant que je suis comme une éponge émotionnelle ultra-absorbante, mais que, contrairement aux éponges classiques, je n’ai pas de fonction essorage. Mes amis me taquinent en me demandant si je capte aussi les ondes radio, vu ma sensibilité hors norme. En tout cas, je suis reconnaissant aujourd’hui que le Drive existe !

Être hypersensible, c’est aussi passer du rire aux larmes en un clin d’œil. Une bonne nouvelle peut me propulser sur un petit nuage pendant des heures, tandis qu’une critique, même minime, peut me plonger dans une profonde remise en question. J’ai appris à mes dépens qu’il vaut mieux éviter les films tristes en public. À ma décharge, c’était vraiment émouvant !

Heureusement, j’ai trouvé une alliée précieuse pour naviguer dans ce tumulte émotionnel : l’humour. Rire de mes propres réactions excessives me permet de prendre du recul. Par exemple, lorsque je me surprends à suranalyser un message texte sans ponctuation (« Pourquoi n’a-t-il pas mis de point d’exclamation ? Est-il fâché ? »), je me rappelle que tout le monde n’accorde pas autant d’importance aux détails. Et je me dis que si l’hypersensibilité était une discipline olympique, je serais sûrement médaillé d’or !

Mettre ma sensibilité au service des autres

Cette intensité émotionnelle, je l’ai transformée en force dans mon métier d’accompagnant. Grâce à elle, je peux véritablement me connecter à mes clients, comprendre leurs douleurs, leurs joies, leurs peurs. Je ne me contente pas d’écouter ce qu’ils disent ; je ressens ce qu’ils vivent. Cela me permet de les guider avec une empathie sincère, de leur offrir un espace où ils se sentent réellement compris et soutenus.

Par exemple, lors d’une séance avec un client qui traversait une période difficile, j’ai perçu sa détresse derrière son masque de façade. En lui partageant ce que je ressentais, il s’est senti en confiance pour ouvrir son cœur. Ensemble, nous avons exploré ses émotions profondes et trouvé des voies pour l’apaiser.

Vivre en tant qu’hypersensible est un voyage tumultueux, parsemé de hauts vertigineux et de bas profonds. Mais c’est aussi une aventure extraordinaire, riche en émotions et en découvertes. Chaque jour est une nouvelle occasion de ressentir, de comprendre, d’aimer. Et si cela signifie parfois devoir affronter des tempêtes intérieures, le jeu en vaut la chandelle.

Alors, si vous vous reconnaissez dans ces lignes ou si vous connaissez quelqu’un qui vit ce quotidien intense, sachez que cette sensibilité est une véritable richesse. Avec un brin d’humour, une bonne dose d’auto-compassion et le soutien adéquat, elle peut devenir une force incroyable, capable de transformer des vies.

Pendant de nombreuses années, j’ai vécu mon hypersensibilité comme un fardeau, une sorte de malédiction dont je ne pouvais me défaire. Je me demandais constamment pourquoi je réagissais si intensément aux situations que les autres semblaient traverser sans encombre. C’était comme si j’étais un orchestre dont tous les instruments jouaient en même temps, sans chef d’orchestre pour les harmoniser. Autant dire que le vacarme intérieur était assourdissant !

J’ai tenté de me conformer, de « rentrer dans le moule » comme on dit. J’ai essayé de me forger une carapace, de m’endurcir. Je vous le dis encore, là aussi : ça n’a pas fonctionné. En fait, c’était un peu comme essayer de mettre un costume trop petit ; non seulement c’était inconfortable, mais en plus, ça craquait de partout. Plus je luttais contre ma nature, plus je me sentais perdu, épuisé par cette bataille incessante contre moi-même.

Le déclic est venu un jour, presque par hasard. Je me suis surpris à envier un caméléon dans un documentaire animalier. Oui, un caméléon ! Je me disais : « Quelle chance il a de pouvoir changer de couleur pour se fondre dans le décor. » Puis j’ai réalisé que, contrairement à lui, je n’avais pas besoin de me camoufler. Et si, au lieu de chercher à me fondre dans la masse, j’acceptais mes couleurs vives ? Après tout, un arc-en-ciel n’essaie pas de se faire discret !

Cette prise de conscience a été le début d’un voyage intérieur. J’ai commencé à me documenter, à lire sur l’hypersensibilité, à comprendre que je n’étais pas seul. J’ai découvert que cette sensibilité exacerbée pouvait être une force, un atout précieux. C’était comme si on m’avait offert une nouvelle paire de lunettes, me permettant de voir le monde sous un angle différent.

J’ai appris à accueillir mes émotions plutôt qu’à les repousser. À écouter cette petite voix intérieure qui, jusque-là, avait été noyée sous le tumulte. J’ai commencé à méditer, à écrire, à exprimer ce que je ressentais sans crainte du jugement. Et, petit à petit, j’ai senti un poids se lever de mes épaules.

Un jour, lors d’une conversation avec un ami, il m’a dit : « Tu sais, tu as une capacité incroyable à comprendre ce que les gens ressentent. C’est comme si tu lisais en eux. » Cette phrase a résonné en moi. Et si mon hypersensibilité pouvait être mise au service des autres ? Et si, au lieu de la subir, je pouvais l’utiliser pour aider ceux qui se sentent parfois perdus dans le tourbillon de leurs émotions ?

C’est ainsi que j’ai décidé d’orienter ma carrière vers l’accompagnement. J’ai suivi des formations, rencontré des personnes inspirantes. Et là, j’ai compris toute la puissance de cette sensibilité. Je pouvais réellement me connecter aux autres, ressentir leurs blocages, leurs peurs, mais aussi leurs aspirations profondes.

Bien sûr, tout n’a pas été un long fleuve tranquille. Il m’arrive encore de me sentir submergé. Après tout, la vie serait bien ennuyeuse sans ces petits moments d’émotion intense. Mais aujourd’hui, je suis fier de mon parcours. J’ai appris que l’acceptation de soi est le premier pas vers l’épanouissement. Mon hypersensibilité n’est plus une faiblesse, mais une richesse que je chéris et que je partage avec ceux qui croisent mon chemin.

La beauté de l’authenticité

J’encourage chacun à embrasser pleinement qui il est, avec ses forces et ses vulnérabilités. Si vous vous sentez parfois « trop » ceci ou « pas assez » cela, rappelez-vous que vous êtes unique, et que c’est précisément ce qui fait votre beauté.

Après avoir accepté mon hypersensibilité comme une part intégrante de mon être, il me restait un défi de taille : transformer cette sensibilité exacerbée en une véritable force. C’était un peu comme si j’avais hérité d’un superpouvoir, mais sans le mode d’emploi. Vous savez, comme Spider-Man qui découvre ses pouvoirs mais qui se prend les pieds dans sa toile au début. Sauf que moi, ma toile, c’était mes émotions, et croyez-moi, j’y étais souvent bien emmêlé !

J’ai réalisé que pour ne plus subir mes émotions, je devais apprendre à les canaliser. Je me suis intéressé aux pratiques favorisant la gestion du stress et des émotions. La méditation est rapidement devenue une alliée précieuse. Au début, rester assis en silence relevait du défi olympique. Mon esprit partait dans tous les sens : « Est-ce que j’ai bien éteint le four ? Pourquoi le ciel est-il bleu ? Et si les fourmis avaient conscience de notre existence ? » Bref, une véritable cacophonie mentale.

Mais avec le temps, j’ai appris à laisser passer ces pensées sans m’y accrocher. La méditation m’a offert un espace de calme au milieu de la tempête, un îlot de sérénité où je pouvais me ressourcer. C’était comme trouver un bouton « pause » sur la télécommande de ma vie intérieure. Et croyez-moi, ce bouton est devenu mon meilleur ami.

J’ai également appris à mettre des limites, à dire non lorsque c’était nécessaire, à préserver mon énergie. J’ai compris que je n’avais pas à affronter le monde seul, que partager mes ressentis pouvait non seulement m’aider, mais aussi inspirer les autres.

En transformant ma sensibilité en force, j’ai ressenti le besoin de partager mon expérience avec d’autres. Mon objectif : aider tous ceux qui naviguent dans cet océan d’émotions à voir leur sensibilité non pas comme un fardeau, mais comme un trésor.

Chaque témoignage, chaque échange est une nouvelle pierre à l’édifice de cette mission que je me suis fixée. Voir les yeux des gens s’illuminer, sentir qu’ils se sentent compris, moins seuls, c’est une récompense inestimable.

Transformer ma sensibilité en force n’a pas été un chemin linéaire. Il y a eu des hauts et des bas, des doutes et des révélations. Mais aujourd’hui, je peux dire avec fierté que cette sensibilité, autrefois source de tant de tourments, est devenue mon plus bel atout. Elle me permet de vivre pleinement, intensément, et de toucher le cœur des personnes que j’accompagne.

L’hypersensibilité au service de l’accompagnement

Lorsque j’ai commencé à accompagner des personnes sur le chemin de leur épanouissement personnel, j’ai rapidement compris que mon hypersensibilité n’était pas seulement un trait de caractère, mais une véritable boussole intérieure. C’était comme si toutes ces années à ressentir intensément le monde avaient affûté mes sens, me préparant à cette mission. Mon hypersensibilité est devenue mon alliée la plus précieuse, un superpouvoir au service des autres.

Imaginez pouvoir lire entre les lignes, entendre ce qui n’est pas dit, ressentir les émotions cachées derrière un sourire de façade. C’est exactement ce que mon hypersensibilité me permet de faire. Lors de mes séances, je ne me contente pas d’écouter les mots de mes clients, je perçois leurs vibrations, leurs énergies. Un léger tremblement dans la voix, un regard fuyant, une respiration plus courte… Autant de signaux subtils qui me guident pour comprendre profondément ce qu’ils vivent.

Mon hypersensibilité me permet non seulement de comprendre mes clients, mais aussi de les guider pour qu’ils transforment leurs propres vulnérabilités en forces. Je sais à quel point il est difficile de naviguer dans un monde qui valorise la force et la rationalité, quand on se sent submergé par ses émotions. C’est pourquoi je partage avec eux des outils et des techniques que j’ai moi-même testés et approuvés.

Nous travaillons ensemble sur la gestion des émotions, la mise en place de limites saines, l’acceptation de soi. Je les aide à voir leur sensibilité non pas comme un fardeau, mais comme une richesse. Après tout, c’est en étant authentiquement soi que l’on peut véritablement s’épanouir.

Conclusion : Une invitation à embrasser sa sensibilité

Être hypersensible est un voyage riche en couleurs, en émotions, en découvertes. C’est une danse entre la vulnérabilité et la force, entre le tumulte intérieur et la beauté du monde. C’est une invitation à vivre pleinement, intensément, authentiquement.

Je vous encourage de tout cœur à embrasser votre sensibilité. À la chérir, à la cultiver, à la partager. Car c’est en étant véritablement vous-même que vous pouvez apporter votre lumière au monde.

Et rappelez-vous, vous n’êtes pas seul sur ce chemin. Nous sommes nombreux à ressentir les choses avec cette intensité. Ensemble, nous pouvons créer un espace de compréhension, de soutien et de joie.

Alors, osez briller. Osez ressentir. Osez être vous-même.

Et si jamais vous avez besoin d’un compagnon de route, quelqu’un qui comprend ce que c’est que d’être ému devant une simple feuille qui tombe d’un arbre (véridique !), sachez que je suis là, prêt à vous accompagner avec bienveillance, humour et empathie.

N’hésitez pas à me contacter par e-mail à info@authentiquementsoi.com, par téléphone au 06 27 91 04 79, ou via mes réseaux sociaux. Je serais honoré de partager ce voyage avec vous.

Merci d’avoir pris le temps de lire ces lignes. Que votre voyage soit rempli de découvertes, de sourires et de moments magiques.

Avec amour et gratitude

Sébastien P.

Ps: Laissez moi un message, via ce site ou mes réseaux sociaux, si vous désirez plus d’article comme celui-ci

2 réflexions sur “Plongée au Cœur de l’Hypersensibilité : Au service de mon accompagnement”

  1. Moi depuis l’âge de 5ans je suis comme ça , je ressens tous .même jusqu’à la peur . Nous avons l’impression d’être des extraterrestres d’être venus d’une autre planète.Je fais des massages je l’es vis et ressens. Y’a des fois je veux crier , hurlé, pleuré, et quand y’a de la joie La joie ,me transporte . la peine, la fureur, la peur, la frustration chaque jours c’est de plus en plus intenses, puis d’année en année ça s’intensifie. C’est pour cela que je fais du yoga et de la méditation. Bien à vous.

    1. Merci pour ton partage si authentique. Ressentir tout avec une telle intensité, c’est à la fois un cadeau et une épreuve. Chaque émotion te traverse avec une force qui te fait parfois te sentir « d’une autre planète », mais c’est aussi ce qui te rend si profondément connectée à la vie.

      Le yoga et la méditation sont de belles réponses à cette intensité, des outils pour trouver l’apaisement dans ce flot d’émotions. Continue d’accueillir chaque sensation, chaque moment, comme un pas vers plus de compréhension et de liberté intérieure.

      Avec tout mon soutien,
      Sébastien

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